vendredi 16 mai 2008

POPULATION HUMAINE
10 000 av - 4 000 000
1 000 av - 50 000 000
1 000 - 310 000 000
2 005 - 6 500 000 000

La nature s'est toujours occupée de réguler les espèces devenus trop nombreuse sur une trop petite superficie. Dans la jungle Amazonienne, les insectes qui dépasse le nombre requis sont régulés par un champignon vénéneux. Dans la savane Africaine, l'équilibre carnivore-herbivore est toujours maintenu. Même l'humain aide mère-nature à faire son travail...Trop souvent sans y être requis. (être-vivant se trouvant dans son environnement stérile)

Mais l'être humain, ayant appris à déjouer les aléas du destin, qui s'occupe de le réguler? Lui-même. J'aimerais pouvoir dire que c'est par son bon vouloir qu'il le fait, mais il n'en est rien. Au temps ou il vivait de chasse et de cueillette, en bandes dispersées de 40-50 individus, l'équilibre était atteint. Mais la perte de son instinct au profit de la pensée, l'a placé dans une sorte de course ou le prix est son extinction. Un peu comme l'âne et la carotte, sauf que la carotte est empoisonnée et il commence à s'en apercevoir...

Avec l'arrivée de l'agriculture, certains individus ont pu commencer à se spécialiser. Ce qui l'a amené à accroître sa durée de vie et à diminuer sa mortalité infantile. Pour une bonne partie de son histoire, la nature à fait son travail. Implantant une épidémie par-ci créant un désastre naturel par-là. L'arrivée constante de nouvelles technologies lui permet de plus en plus d'éviter ce désherbage nécessaire. Par contre, grâce à son instinct territorial, il peut utiliser ces nouvelles technologies pour se réguler lui-même. Avec les guerres, ou les nouveaux produits qu'il teste sur des populations entières.

Ils savent ce qu'ils doivent faire pour remédier à ce problème, mais ils ne le font pas. Ils n'y a aucun contrôle sur leurs natalités. Leur goût pour la richesse immédiate est sans scrupule et égoïste. Il y a toujours les cataclysmes naturels, mais la seule raison pour un nombre si important de victimes, est le chiffres beaucoup trop élevé d'habitant au m².

Pour terminer, tout comme un cancer, l'humain se propage rapidement et détruit une grande partie des ressources nécessaire à la vie. Si la constante se maintient, il tueras son hôte et, naturellement, lui-même.